Pour mieux comprendre la responsabilité de J Rey, finalement aussi piètre gestionnaire à la CCRVV qu’à la commune d’Aigues-Vives, merci de trouver ci-dessous un extrait de l’ édifiant rapport de la cour des Comptes n° 126/1428 du 29/10/2012.
LA SUPERCHERIE SAUTE AUX YEUX DE TOUS (voir page 23)
Après avoir fait passer les intérêts de SA commune d’ Aigues-Vives au détriment des contribuables locaux, en vendant à la communauté notre crèche et notre centre de loisirs presque le double de la valeur haute estimée par France Domaine, après avoir fait profiter de SES largesses en achetant des terrains 15 fois au dessus du prix, merci de trouver ci dessous les frais de restauration 2005 et 2006. Bien sur, toujours avec l’argent des contribuables.
Compter réceptions : Pendant que les sans dents, crèvent la dalle et ne mangent pas à leur faim. le politique lui, mange, il becte, il se délecte. Il s’en met plein la lampe à se faire » péter » la sous-ventrière selon une expression cavalière !
Dépenses restaurants année 2007 : 31 551, 65 € pour 332 mandats. Prix moyen du mandat : 95 €
Dépenses restaurants année 2008 : 28 964, 57 € pour 139 mandats. Prix moyen du mandat : 208 €. A noter que 2 seuls mandats au Restaurant À la Prose nous ont coûté 740 € ! Oui, vous avez bien lu !!!! SEPT CENT QUARANTE €.
Tout ce beau monde, dés la creation de Communauté des Communes tels des roitelets, se délectait, s’empiffrait, se goinfrait à vos frais. Pourquoi donc se gêner ? Ce n’est que de l’argent public ! Et pas n’importe ou : chez Alexandre Grande-Motte, La Croq au Sel, La Prose, La Table des Oliviers, La Villa Vicha, l’Ardoise, Le Flambadou, Le Maî, Le Mazet, Veri Gourmand, Yatch-Club Sciou etc.
Etrangement aucune note de petits restaurants fréquentés par les ouvriers ou les commerciaux à faibles prix sur les environs ou même de Lasalle !
Restaurants bourgeois, cuisine ouvrière ?
Il faut avant tout chercher à plaire aux électeurs et raconter aux électeurs ce qu’ils aiment entendre : « Nous les maires, nous sommes d’origine modeste, notre alimentation est plus que modeste (la preuve ci-dessus), votez pour nous, notre ambition qui, elle, n’est pas modeste, vous le demande. Nous vous en remercions à l’avance ».
Le peuple, le bon peuple est généreux, il est prêt t à tous les sacrifices afin que nos majestés de la Communauté puissent casser la croûte et donc se restaurer en toute dignité !
Heureux tous ces inconscients de maires ! Heureux ! Assis sur une mine d’or inépuisable. Ils dépensaient sans compter l’argent des autres alors que la caisse était …vide ! La bouffe d’abord, la gestion après ! Doit-on en conclure, que ces maires ne pouvaient gérer avec rigueur le ventre vide ?
Comme le disait un homme politique important : » Nous devons tous intégrer et pas seulement expliquer, mais entendre et comprendre, ce que c’est de vivre avec 950 € mois quand les additions des restaurants des environs tournent autour de 200 €, lorsque vous invitez quelqu’un. » ( avec l’argent des contribuables)
La suite vous la connaissez. Un plantage réussi !
Les seuls intérêts, à rembourser jusqu’à fin 2025 sans tenir compte du dernier emprunt de 2015, s’élèvent à 5 192 824 €. Nous vous laissons le soin de calculer le montant exorbitant des intérêts payés avant 2015 et surtout entre 2026 et 2053.
Nous exigeons que notre champion de » La Gestion Maitrisée « explique comment il ose être si large avec l’argent public et le dilapider ainsi, alors qu’il se permet de faire payer les 4000 € de sa condamnation en nom propre par la commune, c’est à dire par nous les contribuables locaux.
Il apparait plus que jamais comme celui qu’il est depuis le commencement : un piètre gestionnaire, un incompétent qui n’aurait jamais se trouver à la tête de notre municipalité, quasiment sans contrôle et qui, hélas n’en sortira pas sans une prise de conscience collective.
DCAV : octobre 2019