Décision judiciaire d’intérêt public

Le 15 mai 2025 par un arrêt de la Cour d’Appel de Nîmes, Jacky REY, maire d’Aigues Vives, Magali PRADEILLE 1ère adjointe, Guy BLANC adjoint et l’élu Jack POTAVIN qui avaient fait appel de leur première attaque perdue (Pascal MAILLARD s’est désisté de son appel), représentés par l’avocat David MENDEL, ont -à nouveau- été débouté de leur attaque contre le lanceur d’alerte Robert SOULIER.
Pour mémoire Mme PRADEILLE, MM. REY, BLANC, MAILLARD et POTAVIN avaient déjà été déboutés le 28 mai 2024 de leur attaque contre le Président de la DCAV en première instance, alors qu’ils se prétendaient -à tort- diffamés suite au décès d’un de leurs administrés, M. Armand RUSSO fin janvier 2022.
Cette nouvelle défaite judiciaire contre un lanceur d’alerte et un site d’information indépendant, celui de la DCAV cette fois, augmente encore le record de 100% de procès
perdus initié par Jacky REY, maire d’Aigues- Vives, pour faire taire les lanceurs d’alerte au cours de ses divers mandats.
On se souvient en effet, que le Maire d’Aigues-Vives avait déjà subit une série de défaites dans « l’affaire de la parcelle AC111, où il avait attaqué à tort le journal d’information aiguesvives.fr entre 2013 et 2016 et trainé devant les tribunaux une dame âgée de plus de 80 ans ayant de surcroit un enfant souffrant d’un très lourd handicap,
Les attaques infondées lancées par le maire et certains de ses colistiers pour des motifs étrangers à l’intérêt de la commune ont -une fois de plus- coûté des milliers d’euros d’argent public à la commune, donc aux contribuables d’Aigues-Vives qui lisent ce communiqué.
De ce fait, conformément à sa mission de défense des contribuables, la DCAV a lancé une enquête judiciaire pour vérifier la légalité d’utilisation de ces fonds publics à des fins privées par le maire d’Aigues-Vives et ses ami(e)s.